


Période du baby-boom,
A cette époque, prendre des cours à dominante artistique était considéré comme un luxe et seuls quelques « happy few » y avaient accès.
La demande était cependant bien présente et orientait tout naturellement les passionnés à suivre des cours collectifs, souvent surpeuplés.
Une période révolue à ranger au rang des souvenirs mais qui augurait bien de la suite et qui avait déjà engagé le virage vers la fin d’un certain élitisme des valeurs artistiques